SANDRA FREEMAN
L’EDJ, c’est l’école du terrain. On y découvre le journalisme de proximité, le vrai… Et c’est sur ces bonnes bases, bien solides, qu’on peut se construire derrière, aspirer à devenir plus grand.
L’EDJ, c’est l’école du terrain. On y découvre le journalisme de proximité, le vrai… Et c’est sur ces bonnes bases, bien solides, qu’on peut se construire derrière, aspirer à devenir plus grand.
À l’EDJ on nous a donné notre première « dose ». Ensuite on devient vite « accro » à l’Info.
Je crois que j’aurais fait ce métier, même sans l’EDJ. Mais cette école m’a formé et forgé… Et c’est grâce à elle, que j’ai pu intégrer LCI.
Deux années d’enthousiasme quotidien !
Ce que je retiens de mon passage à l’EDJ ? Le fait d’avoir élargi mon horizon. Et la démonstration que tout était possible.
L’EDJ a cet avantage de mettre le pied à l’étrier pour les jeunes journalistes en herbe.
L’EDJ a réussi à m’apprendre à me faire confiance en me donnant les clés de lecture de l’information.
Je crois pouvoir dire que mon passage à l’EDJ a été une chance et un formidable tremplin pour la suite.
L’EDJ n’est pas une école, c’est un pont. Un passage qui a relié ma vie d’étudiant à ma vie professionnelle.
De mon passage à l’EDJ, je retiens la solidarité qui existe entre les étudiants de ma promotion. Cette entraide perdure pour mon plus grand plaisir.