Aujourd’hui, je me sens armé à affronter le marché du travail. Grâce aux différents enseignements reçus lors de ma scolarité à l’école de journalisme de Nice, je peux affirmer que je dispose des prérequis qui me permettent d’intégrer sereinement le monde professionnel. Doté de connaissances et de compétences pour être parfaitement opérationnel, je ne ressens pas à cet instant la crainte d’entrer dans le monde du travail et de ses contraintes.
Avec le bagage technique, les codes, et les conseils de mes professeurs, je me sais paré pour être à l’aise face à des DHR ou des recruteurs. Je sais ce que je vaux, je connais mes points forts comme mes points faibles.
Si je suis prêt, c’est grâce à l’école du journalisme de Nice, grâce aux cours qui m’ont permis de comprendre les enjeux du monde qui m’entoure, le contexte français en particulier, aussi bien pour ce qui est des questions politiques, économiques, qui m’ont permis de comprendre aussi le contexte géopolitique et les conflits qui ravagent notre planète.
Pour être prêt à affronter le marché du travail, j’ai pu compter sur les nombreuses heures passées sur le terrain à mettre à profit et à approfondir mes connaissances, à développer les compétences inhérentes au métier de journaliste. Parmi elles on peut citer : le travail de recherche et d’investigation, la rigueur et l’impartialité, la précision, l’exhaustivité et la justesse du propos, tout cela dans le but d’apporter le bon niveau d’information qui alimentera le débat, la réflexion et qui contribuera à apporter des réponses.
Grâce à l’EDJ j’ai pratiqué tous les supports d’expression du journaliste. Que ce soit en deuxième ou en troisième année, ces moments passés sur le terrain ou en web-desk m’ont appris de manière efficiente, le maniement des outils utilisés pour les supports radio télévision : de l’enregistreur audio, au maniement de la caméra, je sais pouvoir gérer tous les matériels pour un rendu maximum, potentiellement déployables dans une rédaction. Cette capacité est un plus dans ma recherche active d’emploi, pouvant ainsi postuler dans n’importe quel média.
En plus de mes connaissances techniques, je peux aisément attester d’une maitrise de tous les types d’exercices liés aux différents supports d’expressions. Journal, Flash, papier, enrobée, et encore bien d’autres. Grâce aux cours professionnalisants auxquels j’ai pu assister au sein de l’EDJ, je me suis entrainé sur du concret et non seulement sur de la théorie ce qui m’a permis d’engranger une bonne et bénéfique expérience de terrain. De plus, avec ma spécialisation en journalisme sportif, j’ai acquis d’autres atouts qui me donnent de la confiance et de la force dans mes capacités professionnelles à exercer mon métier de vocation.
Durant ma troisième année, les cours de business et de communication du sport m’ont permis d’entrevoir le monde dans lequel je souhaite évoluer dans le futur. Avec ces connaissances, je suis certain d’être en possession d’un atout non négligeable par rapport à d’autres candidats. En plus de ces deux enseignements, j’ai eu l’occasion d’apprendre et de consolider de nouveaux acquis ; le cours de commentaires sportifs en fait partie. Sous la direction de Christophe Josse et grâce à l’EDJ, j’ai pu toucher du doigt un rêve. Savoir commenter un événement, quel qu’il soit, me permettant encore d’être en avance sur d’autres jeunes ou moins jeunes journalistes.
Je suis conscient qu’il faudra encore beaucoup de travail pour arriver au niveau des plus grands, mais cette exploration dans ce domaine prouve que j’en suis capable. En complétant ces cours avec des notions, expressions et vocabulaires spécifiques appris en langue anglaise, mon cursus m’a permis pendant mes différents stages, à être à l’aise avec des personnes étrangères. Aujourd’hui, les médias cherchent avant tout des personnes capables d’être à l’aise sur tous les supports et avec une expérience professionnelle. Grâce à mes 2 stages, dans les radios Agora FM et NRJ Monaco-Menton, je peux attester de trois mois d’insertion dans la vie d’une rédaction.
Avec le soutien de l’EDJ, j’ai pu accéder à des stages de qualité, très professionnalisants, où mes tuteurs m’ont traité comme un vrai journaliste et non comme un stagiaire. Durant ces périodes d’immersion, j’ai réalisé un travail de niveau professionnel qui visait à être diffuser sur les ondes des médias. Cela m’a permis d’emmagasiner de l’expérience et de répondre aux exigences d’un véritable rédacteur en chef. De nombreux reportages ou journal radio m’ont également aidé à développer des compétences et à remettre en question des certitudes sur des préjugés savoir-faire.
Un autre point sur lequel je me sens rassuré quant à affronter le marché du travail, c’est la préparation des entretiens d’embauche, la rédaction de CV et de lettres de motivation. Grâce à l’accompagnement de l’EDJ, j’ai déjà pu me rendre compte des composantes à prendre en compte lors d’un entretien. J’ai appris à adopter la bonne posture face à des DRH.
Ma vocation de journaliste sportif :
D’aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours été passionné par le sport et plus particulièrement par le commentaire sportif. Très jeune, je lisais déjà des revues sportives et ne manquais aucune émission sportive. Tous les sports m’intéressent, que ce soit au niveau du jeu ou de l’environnement des clubs et des sportifs (contexte économique, relationnel, humain, entraineurs, dirigeants, stratégie de développement, …). Il m’a fallu du temps pour comprendre que le journalisme sportif était à ma portée et que je pouvais faire de mon rêve une réalité. En effet, il est révolu le temps où on pouvait accéder au métier de chroniqueur sportif en commençant « par apporter des boissons » et être l’homme à tout faire des Thierry Roland ou Thierry Gilardi.
Désormais, le passage par une école reconnue est obligatoire et c’est après avoir suivi plusieurs filières d’apprentissages (logistique industrielle, économie et social) que j’ai résolument décidé de mettre tout en œuvre pour faire le métier qui répondait à ma vocation. Aussi, j’ai convaincu mes parents de me faire confiance pour entreprendre un parcours qui me conduit vers ce que j’ai toujours voulu faire et ce que je veux être demain. Pour cela, il me fallait être le mieux armé possible pour disposer des compétences, savoir-faire et savoir-être pour décrocher le graal de pouvoir débuter dans un média.
Après de nombreuses recherches, l’EDJ m’a paru être la meilleure clef d’entrée pour donner du concret à ma vocation, d’autant plus que j’ai la chance d’avoir mes parents qui habitent dans les Alpes Maritimes. Le fait que le diplôme de l’EDJ soit reconnu par l’état a été déterminant dans mon choix. En résumé, l’EDJ m’offrait des perspectives. L’EDJ répondait déjà à ma première demande : recevoir un enseignement spécialisé dans le journalisme sportif et être opérationnel dès la sortie de l’école.
Objectif atteint puisque l’école m’a apporté tout le bagage nécessaire et reconnu pour postuler dans les médias : pratique du terrain, pluri-qualification, rencontre avec des sportifs, réseau des anciens élèves ou encore parrains de renom et conférenciers prestigieux. Ce que j’ai acquis en expérience m’a conforté dans mon choix de vie professionnelle et donc conforté dans ma vocation: vivre l’info en direct 24h sur 24, baigner dans l’actualité sportive, avoir accès à la presse et aux médias spécialisés, suivre les réseaux sociaux.
Bref, contrairement à ce que j’ai pu vivre par le passé, je n’ai pas eu à subir l’apprentissage car travailler pour mes études n’était pas en fait du travail mais l’accomplissement d’un rêve. Et quand on aime ce que l’on fait, on ne travaille pas, on vit ! Le fait de disposer de l’expertise d’enseignants qui sont des références dans le monde sportif a éminemment renforcé ma vocation, notamment grâce à Christophe Josse. Quelle fierté de pouvoir s’enorgueillir de leur transmission de savoirs et de compétences ! Et quel exemple. L’inimaginable de mon adolescence devient réalité. C’est ce que je veux faire. Et j’y arriverai, grâce à l’EDJ ; Et pourquoi pas … un jour devenir un enseignant à l’EDJ en juste retour.
Ma vocation est plutôt axée sur le commentaire oral plutôt que d’œuvrer dans la presse écrite. Mon expérience acquise à l’EDJ a conforté ce choix : du micro-trottoir à l’interview de sportifs, la rencontre avec des organisateurs événementiels le contact humain et l’échange afin de communiquer avec passion en direct sont essentiels.
A ce sujet, je tiens à remercier la rédaction d’AGORA, qui grâce à l’EDJ, m’a donné l’occasion – et fait confiance – pour la réalisation des journaux régionaux. J’ai ainsi appris à placer ma voix, à la moduler et donner les bonnes intonations afin de retenir l’attention des auditeurs. Très à l’aise à l’oral, l’EDJ m’a également donné les atouts qui me permettront de réussir dans la presse écrite, la rédaction d’articles, la technique de la synthèse, la gestion des délais serrés avant envoi à l’édition.
L’EDJ apporte les techniques d’écriture qui me seront très utiles dans la presse écrite car un journaliste sportif doit avoir plusieurs « casquettes » : rédactionnelle et orale. Ce qui m’a particulièrement plu, c’est le côté rédactionnel « contraint » aux nombres de lignes et de mots. Cela m’a permis de cerner l’essentiel du superflu, de dégager l’essence même du message que je veux délivrer. Ma vocation et l’idée que je me fais du journaliste sportif c’est d’aller droit au but, sans mauvais jeu de mots.
Avec l’EDJ, j’ai également appris à décortiquer les commentaires sportifs : les erreurs à ne pas commettre, les propos approximatifs, les avis partisans, … Ma vocation et ma passion pour le métier de commentateur ou chroniqueur sportif a alors été renforcée par le souci de la justesse du commentaire, en toute objectivité, sans parti pris. Il en va d’une rencontre sportive comme d’une échéance électorale en politique : il faut donner les clés, les enjeux, les commentaires des acteurs en amont, évoquer différents scenarii, faire la part des choses entre l’info et l’intox. C’est pourquoi j’ai pris un réel plaisir à suivre le match de football France – Colombie sur RMC avec l’apport de l’expertise de Jean Jacques Bourdin. Son côté prise de parole « sans langue de bois » m’a impressionné. J’ai beaucoup appris à l’occasion de cette rencontre. Mes stages m’ont également conforté dans la vision que je me fais de la relation entre les journalistes et leur rédaction : les échanges, les consensus à trouver, la validation du contenu sans dénaturation, la défense d’un budget.
Grâce à NRJ Monaco-Menton, j’ai été à la rencontre du grand public pour des prises de son. Recueillir l’avis des interviewés, poser les bonnes questions, créer « en live » un climat propice aux déclarations, aux émotions, aux témoignages de la passion … Ce contact humain, ces confrontations parfois, ont renforcé très sensiblement ma vocation. Les interviews me sont indispensables pour l’accomplissement de ma vie professionnelle de journaliste sportif.
Avec EDJ, j’ai également appris des techniques et des technologies permettant d’améliorer l’efficacité des reportages. Féru d’informatique, j’ai ainsi pu m’exprimer pleinement dans les domaines du travail :
– sur l’image (cadrage, types et durées des plans, mouvements de caméras, …)
– du son (interviews, ambiance sonore, …). Là encore, ces ateliers de pratique ont contribué à renforcer ma vocation. Si on me posait la question de savoir ce que je préfèrerai dans le travail de journaliste sportif, ma réponse serait d’être au cœur de l’actualité et de pouvoir côtoyer les acteurs (sportifs, entraineurs, dirigeants, …) et surtout le public pour faire partager l’émotion. J’ai également aimé le rythme de travail : rapide, efficace, concis. C’est cela que je recherche et l’expérience acquise durant mon stage à NRJ Monaco-Menton me sera très bénéfique. Cette façon de travailler a également contribué à renforcer ma motivation car elle me correspond pleinement.
Mes objectifs professionnels sont :
– S’installer durablement dans un média ayant une rédaction sport
– Continuer à progresser sur tous les supports d’expression
Pour parvenir à m’installer durablement dans une rédaction de ce type, il va falloir déménager de la ville de Nice pour migrer vers Paris. Premier point qui semble évident lorsque l’on connait les disponibilités d’emplois sur la région des Alpes-Maritimes sur ce secteur spécifique d’activité. Il me semble aussi intéressant de mettre en œuvre mes capacités acquises lors de mon cursus à l’EDJ au profit de petites rédactions du moins pour le début de ma carrière. Ces médias moins connus que leurs concurrents sont une grande source de savoirs car les journalistes se retrouvent à faire plusieurs choses, peut être plus rapidement que dans un grand média. De plus c’est aussi un bon moyen de se forger une bonne réputation dans le milieu et me permettre de briguer quelques années plus tard un poste dans une rédaction nationale spécialisée dans le sport. Pour mon second objectif, je veux continuer à progresser sur tous les supports d’expression et ainsi ne pas être dépassé. Pour réussir, je vais devoir sans cesse me remettre en question sur mes acquis d’écritures, de voix, de ton et autres pour toujours être en capacité de proposer le meilleur de moi-même.
Pendant ces années passé à l’école du journalisme de Nice, j’ai appris énormément, aussi bien personnellement que professionnellement. J’ai pu apprendre, dans un cadre propice au travail, toutes les caractéristiques et capacités qui font transformer un étudiant en professionnel. Grâce à des cours de grandes qualités, je n’ai cessé de m’améliorer, profitant de conseils de vrais professionnels ayant des années d’expériences dans des rédactions ou autres. Durant ces deux ans d’études, j’ai pu rencontrer des personnes qui sont devenues de vrais amis capables de me soutenir et de m’aider à m’améliorer, je ne peux m’empêcher de repenser aux nombreux échanges, fous rires émanant du temps passé ensemble. Je ne peux que vous remercier.
L’EDJ, grâce à l’équipe de direction, m’a permis d’effectuer deux stages de très grandes qualités et extrêmement formateurs.