Alexia MALIGE
Etudiante en Mastère 1 de Presse Féminine à l’Ecole Du Journalisme de Nice – Promotion 2018/2019
» C’est un roc ! … c’est un pic ! … c’est un cap ! Que dis-je, c’est un cap ?… C’est une péninsule ! « , hurlait Cyrano de Bergerac face à la foule raillant son nez. Une réplique connue de tous qui vole de génération en génération depuis sa création[1]sans prendre une ride. Tout comme le livre, la peinture, les sculptures ou toute autre forme d’art, le théâtre reste un support culturel majeur. Contrairement à la plupart des œuvres, il ne se délabre jamais matériellement. Les couleurs des tableaux se fanent, les statues se brisent et les ouvrages se déchirent. Le théâtre, lui, ne subit pas les affres du temps. Sa dimension orale lui permet de résister aux années et de s’adapter à son époque. Dans un pays comme la France, où l’art de jouer a commencé au Moyen-Âge, la culture théâtrale est extrêmement forte. Pendant plus de neuf siècles, des milliers de pièces ont été produites sur scène. Des millions de comédiens ont fait rire, pleurer et même réfléchir les citoyens. Une part de la culture française s’est donc construite et développée grâce au théâtre. Et si aujourd’hui, les arts de la scène perdent en popularité aux yeux des Français, le théâtre demeure un socle culturel indéniable, qui possède toujours une place de choix dans la nation française.
» C’est un roc ! … c’est un pic ! … c’est un cap ! Que dis-je, c’est un cap ?… C’est une péninsule ! « , hurlait Cyrano de Bergerac face à la foule raillant son nez. Une réplique connue de tous qui vole de génération en génération depuis sa création[1]sans prendre une ride. Tout comme le livre, la peinture, les sculptures ou toute autre forme d’art, le théâtre reste un support culturel majeur. Contrairement à la plupart des œuvres, il ne se délabre jamais matériellement. Les couleurs des tableaux se fanent, les statues se brisent et les ouvrages se déchirent. Le théâtre, lui, ne subit pas les affres du temps. Sa dimension orale lui permet de résister aux années et de s’adapter à son époque. Dans un pays comme la France, où l’art de jouer a commencé au Moyen-Âge, la culture théâtrale est extrêmement forte. Pendant plus de neuf siècles, des milliers de pièces ont été produites sur scène. Des millions de comédiens ont fait rire, pleurer et même réfléchir les citoyens. Une part de la culture française s’est donc construite et développée grâce au théâtre. Et si aujourd’hui, les arts de la scène perdent en popularité aux yeux des Français, le théâtre demeure un socle culturel indéniable, qui possède toujours une place de choix dans la nation française.
On peut alors se demander en quoi le théâtre fait partie de notre patrimoine national et de quelle manière a-t-il influencé la culture française ? Quelles sont les vertus du jeu ? Le théâtre arrive-t-il à toucher toute la population ? Est-il un art élitiste ou populaire ? Comment s’adapte-il au public ? En quoi est-il lié à l’histoire de France ? Quelle est l’ampleur de l’héritage théâtral ? En quoi le théâtre a-t-il un pouvoir fédérateur ? Comment se distingue-t-il des autres formes d’art en France ? Se limite-t-il au divertissement ou a-t-il une portée plus profonde et intellectuelle ? Pourquoi le théâtre parvient-il à traverser les âges ? Comment arrive-t-il à se renouveler tout en conservant ses principes fondamentaux ? Quelles solutions ont été trouvées pour que le théâtre, art de la vie et de l’oralité, trouve une place dans le monde actuel tout en technologie et communication virtuelle ? Autant d’interrogations que suscite la place du théâtre dans l’Hexagone. Un pays où l’on ne parle pas le français, mais bel et bien la langue de Molière.
L’art de l’émotion
Simuler, mimer, imiter. Le théâtre passe avant tout par la reproduction des comportements humains. Jouer se traduit par la capacité de recréer des scènes de la vie pour en faire partager les émotions au plus grand nombre. Faire du théâtre, c’est se plonger dans l’esprit d’un autre et faire croire aux spectateurs que cette personne est réellement présente devant eux. C’est tout simplement l’art de la métamorphose, du déguisement. Cet amour pour la transformation est arrivé en France vers le XIIème siècle. La Seinte Resurreccionet le Jeu d’Adam[2]sont ainsi les toutes premières pièces dont ont été retrouvées des traces[3]. A cette époque, le théâtre avait une portée principalement religieuse. Les comédiens incarnaient des scènes de la Bible pour rendre la religion accessible à tous. De cette manière, n’importe quel individu, lettré ou non, instruit ou non, pouvait comprendre le message. Très vite, de nouveaux genres, comme les mystères[4], les farces[5]ou les sotties[6], sont nés et le rôle du théâtre s’est peu à peu développé. Plus qu’un outil d’enseignement religieux et de divertissement, il est devenu un vecteur d’éducation sociale, mais aussi de critique religieuse et politique. Les dramaturges se moquent du Clergé, du roi, du pouvoir en général. Ils en dressent des portraits caricaturaux, où les défauts et les vices sont exagérés pour être mieux pointés du doigt. Cette inclination à la satire et à l’ironie amène alors la censure. Certaines pièces sont interdites, certains auteurs punis ou emprisonnés. Le théâtre endosse ainsi un devoir de dénonciation et est considéré comme le terrain de jeu des hérétiques et des dissidents. Si les fonctions critiques et didactiques sont essentielles, le théâtre possède également un pouvoir de catharsis. Il permet aux spectateurs de se délester de leurs émotions les plus intenses en vivant, par le biais de personnages fictifs, des situations exceptionnelles. Il revêt alors le caractère d’art de « la purgation des passions »[7]et offre la possibilité de se détacher de son existence pour vivre plus dangereusement.
Un trésor national à préserver
Le théâtre connaît son apogée entre 1600 et 1900 et tout particulièrement au XVIIIème siècle. Après la renaissance, le théâtre classique[8]émerge avec de grands auteurs tels que Pierre Corneille, Jean Racine ou encore Molière. Les pièces deviennent de vrais spectacles et un soin particulier est accordé à la mise en scène, aux décors et aux costumes. Grand amateur des arts de la scène, Louis XIV décide en 1680 de fonder la Comédie-Française en fusionnant la troupe de l’Hôtel de Bourgogne et celle de l’Hôtel Guénégaud[9]pour faire face aux comédiens italiens. Le théâtre devient ainsi une richesse nationale qu’il faut protéger et qui permet de faire rayonner la France sur le plan culturel.
Aujourd’hui, l’Etat reste encore très impliqué dans l’univers des planches, puisqu’il a conservé plusieurs théâtres français sous son aile. Ainsi, la Comédie-Française, le Théâtre de l’Odéon, le Théâtre de la Colline ou encore le Théâtre de Strasbourg demeurent des établissements publics sous tutelle du ministère de la Culture[10].
De plus, les pièces à l’image de Phèdre(Jean Racine), Le Cid (Pierre Corneille), L’Avareou encore Le malade imaginaire(Molière) sont toujours jouées et continuent d’être enseignées à l’école. Preuve de la richesse de ces mots, qui 400 ans plus tard, sont toujours aussi pertinents et beaux.
Au-delà des textes, le théâtre a évolué au fil du temps pour se muer en architecture. Aujourd’hui, certains théâtres français sont considérés comme des œuvres d’art. Le velours rouge, les dorures, les peintures, les moulures, les plafonds enchantés et les lumières tamisées, de nombreuses salles de théâtre sont de véritables bijoux du patrimoine français. Pas question de les moderniser, il suffit de les rénover. Que ce soit le Théâtre de Mogador, le Châtelet ou le Trianon, ces endroits donnent autant de plaisir aux gens par leur luxe et leur majesté que par la qualité des divertissements qu’ils y accueillent. Aller au théâtre est devenu un plaisir à plusieurs niveaux. Les spectateurs profitent de la grandeur et la luxuriance des lieux, puis se laissent ensuite porter par la représentation en elle même. Des visites guidées sont d’ailleurs organisées dans certains théâtres parisiens afin que les gens puissent découvrir l’envers du décor et apprécier les bâtiments sous un nouvel angle.
L’esprit à la française
Au fil des années, le théâtre a offert aux Français suffisamment de matière pour qu’ils se construisent une culture commune à partir des plus grandes œuvres. Certaines répliques sont devenues cultes et se sont inscrites dans le patrimoine national. Des phrases telles que : « Ô rage, Ô désespoir ! »[11]ou « Que diable allait-il faire dans cette galère ? »[12]évoquent un sentiment particulier. Les Français partagent ces références et les utilisent parfois dans leur quotidien pour exprimer leurs émotions de façon plus grandiloquente.
De la même manière, le théâtre est le reflet d’un esprit à la française. Entre élégance, préciosité et poésie, certains dramaturges incarnent la France dans toute sa finesse et sa subtilité. Avec les drames romantiques d’Alfred de Musset ou de Victor Hugo, le théâtre français fait preuve d’une exquise délicatesse. Quant à Edmond Rostand, il en est encore la meilleure des représentations en ayant écrit une pièce en vers de cinq actes dont l’histoire d’amour fait triompher l’esprit plutôt que la beauté[13].
Outre la musicalité des mots et l’intelligence des intrigues, le théâtre français se distingue également par l’ironie et la caricature. Molière en est un exemple majeur. Il se moque des bourgeois, tantôt avares, tantôt naïfs, tantôt hypocondriaques et il bouleverse l’ordre social[14]. Il se sert de leurs vices et leurs travers pour créer des personnages qui vont prêter à rire, mais également lui servir de prétexte pour glisser une morale sociale dans chacune de ses œuvres. Cet esprit irrévérencieux fait aujourd’hui partie de la culture française à part entière. L’humour français, que l’on retrouve désormais dans les stand upou dans les films, a conservé ce même piquant. C’est d’ailleurs grâce à cet héritage théâtral que sont nées des émissions modernes à l’image des Guignols de l’info, où les plus grands personnages de la vie française étaient moqués et caricaturés à l’extrême. Une dimension farceuse et caustique propre à la France, qui ne s’est pas répandue au-delà de ses frontières.
Le déchainement des passions
A plusieurs reprises dans l’histoire, des pièces de théâtre ont suscité des réactions enflammées du public. Par la profondeur de leur message, la mélodie de leurs mots ou leur façon d’être interprétées, elles ont déclenché des mouvements d’émotions particulièrement importants. Cyrano de Bergerac, par exemple, a reçu un accueil d’un enthousiasme inégalé. Le jour de la première, le 28 décembre 1897, les acteurs ont eu droit à vingt minutes d’applaudissements ininterrompus et à 40 rappels[15]. L’effervescence autour de cette œuvre était telle que la célèbre actrice Sarah Bernhardt a précipité la fin de sa pièce pour pouvoir aller assister à l’acte V de celle d’Edmond Rostand. Du jamais vu ! De la même manière, la pièce de Victor Hugo, Hernani, a déclenché de violents affrontements entre les classiques et la nouvelle génération de romantiques à cause de son esthétique théâtrale qui ne respectait pas les codes. Lors des représentations, les comédiens étaient alors sans cesse dérangés par des cris et des sifflets, voire même des bagarres au sein même de la salle. Un soir, Victor Hugo lui-même a compté 148 interruptions, soit une fois tous les 12 vers en moyenne[16]. Ce déchainement des cœurs et des passions a marqué l’histoire et demeure un symbole de cette énergie théâtrale, capable d’électriser un pays entier. En France, le théâtre va ainsi bien au-delà du divertissement ou de l’art, il est considéré comme une véritable institution. Il est le seul moyen pour les citoyens de vivre une existence qui n’est pas la leur, l’espace de quelques heures. S’identifier aux personnages permet de découvrir des aventures extraordinaires et d’en ressentir toutes les émotions avec force et véhémence. Cette transposition de l’esprit peut conduire à la colère lorsque le dramaturge prend une voie inattendue, ou à la joie extrême lorsque les mots utilisés touchent au plus profond de l’âme. Le théâtre est ainsi l’art de l’affect par excellence. Un statut qui lui offre une place primordiale dans le paysage culturel français.
Une vérité intemporelle
Qu’ils aient été écrits en 1650 ou en 1890, les textes de théâtre parviennent toujours à convaincre les spectateurs d’aujourd’hui. Traitant des sentiments et comportements humains, les pièces restent immuables face aux changements d’époque. Une œuvre comme Les précieuses ridicules de Molière résonne avec la même intensité dans le monde actuel qu’au XVIIème siècle. Les précieuses ne sont plus les mêmes, elles ont évolué, mais gardent cette même manière d’agir. Elles possèdent leur propre langage, des mots néologiques à l’effet stylisé qui entrent dans un jargon ostentatoire né pour impressionner l’entourage. En d’autres termes, le propos de Molière est toujours dans l’air du temps. Il suffit seulement de changer la mise en scène pour donner une touche de modernité finale à la pièce.
Il en va de même pour la plupart des œuvres. Rhinocérosd’Eugène Ionesco, par exemple, qui dépeint la montée du totalitarisme et interroge le mécanisme de groupe et le conformisme, demeure toujours aussi pertinente au XXIe siècle qu’elle l’était lors de sa création. Le message ne perd donc ni sa justesse si son actualité et continue d’amener le spectateur à réfléchir. Néanmoins, le théâtre a de plus en plus de mal à intéresser les nouvelles générations noyées sous l’offre grandissante du divertissement. C’est pourquoi de nombreuses solutions sont essayées pour attirer un public le plus large possible. Les mises en scènes sont de plus en plus contemporaines, des sous-titres anglais sont proposés pour les touristes étrangers et l’accès au théâtre se fait à travers des moyens différents. Désormais, il n’est plus obligatoire de se déplacer en salles. On peut simplement visionner une pièce à la télévision ou au cinéma à moindre coût. Cette démocratisation du théâtre a pour but de susciter l’intérêt du plus grand nombre, mais aussi de briser la dimension élitiste de cet art, qui peine aujourd’hui à retrouver son aura populaire d’antan.
Pilier du paysage culturel français, le théâtre apparaît comme l’un des nouveaux défis du XXIème siècle. Le préserver est une mission de la plus haute importance à laquelle s’emploient les grands acteurs de la culture hexagonale. De plus en plus, les pièces s’effacent sous le poids du cinéma, devenu le nouvel art de l’émotion. Filmé et enregistré à l’avance, il est caractérisé par un réalisme impressionnant et tend alors à éclipser le théâtre, art imparfait de l’instantanéité.
BIBLIOGRAPHIE
OUVRAGES, ARTICLES DE REVUES :
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MOLINIE G., Un style de Molière ?, L’Information Grammaticale, n° 56, 1993, pp. 28-32.
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RONFARD J., Qu’est-ce que le théâtre ?, Etudes Littéraires, Volume 18, n°3, 1985, pp. 227-231.
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DOCUMENTATION ELECTRONIQUE / WEBOGRAPHIE :
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https://www.lemonde.fr/revision-du-bac/annales-bac/francais-premiere/histoire-des-formes-theatrales-de-l-antiquite-a-nos-jours_1-fra-04.html-> L’histoire des formes théâtrales, Le Monde.
https://www.francetvinfo.fr/replay-radio/expliquez-nous/expliquez-nous-le-theatre-en-france_1783783.html-> Le théâtre en France, France Info.
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https://www.franceinter.fr/histoire/genial-moliere-> La vie et l’œuvre de Molière, France Inter.
http://www.lefigaro.fr/histoire/archives/2019/01/08/26010-20190108ARTFIG00240-cyrano-de-bergerac-triomphe-pour-la-premiere-le-28-decembre-1897.php-> Triomphe de Cyrano de Bergeracen 1897, Le Figaro.
https://www.franceculture.fr/histoire/la-comedie-francaise-une-institution-aux-debuts-tragiques-> Histoire de la Comédie-Française, France Culture.
https://www.franceculture.fr/emissions/une-saison-au-theatre/le-theatre-se-fait-son-cinema-> Emission sur le théâtre diffusé au cinéma, France Culture.
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http://www.leparisien.fr/culture-loisirs/les-bonnes-recettes-du-theatre-a-la-tele-28-05-2018-7739637.php-> Le succès du théâtre à la télévision, Le Parisien.
http://www.lefigaro.fr/vox/politique/2017/05/10/31001-20170510ARTFIG00236-theatre-et-politique-de-neron-a-macron-un-couple-qui-dure.php-> Le théâtre et la politique, Le Figaro.
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https://www.telegraph.co.uk/theatre/what-to-see/virtue-signallers-fake-holy-men-moliere-became-voice-times/– > article sur une adaptation très moderne de Tartuffe, The Telegraph.
[1]Cyrano de Bergerac est une pièce inspirée de l’écrivain libertin Savinien de Cyrano de Bergerac (1619-1655) et a été écrite par Edmond Rostand en 1897.
[2]Les auteurs de ces deux pièces sont inconnus.
[3]A. VIALA (dir.), Le théâtre en France, PUF, 2016, pp. 53-56.
[4]Genre théâtral né au XVème siècle, qui s’inspirait des croyances religieuses et des légendes populaires.
[5]Genre théâtral qui a pour but de faire rire en plongeant les personnages dans des situations grotesques.
[6]Pièce de théâtre qui traite de politique ou d’actualité.
[7]A. VIALA (dir.), Le théâtre en France, PUF, 2016, p. 30.
[8]Théâtre qui répond à la règle des trois unités, soit les unités de temps, de lieu et d’action.
[9]Composée à l’origine des comédiens de Molière.
[10]M. AUDEBERT, G. BRUIT,Le théâtre public,in Théâtres, parcours, paroles, Raison présente, n°58, 2etrimestre 1981, pp. 7-8.
[11]Monologue de Don Diègue, Acte 1, scène 4, dans Le Cidde Pierre Corneille.
[12]Géronte à Scapin, Acte 2, scène 7, Les Fourberies de Scapinde Molière.
[13]Cyrano de Bergerac.
[14]A. SAUVY, Théâtre et société au XVIIIème siècle, Annales. Economies, sociétés, civilisations, 16eannée, n° 3, 1961, pp. 535-544.
[15]M-A. BONNIEL, Cyrano de Bergerac : triomphe pour la première le 28 décembre 1897, LeFigaro.fr, 2019.
[16]J. GAUDON, Victor Hugo et le théâtre – Stratégie et dramaturgie, Eurédit, 2008, pp. 165-167.