2024 : Prix Varenne 2024 🏆
Anaïs Grand, ancienne étudiante de l’EDJ, promotion 2020 et journaliste à Var-Matin, a remporté le Prix Varenne Jeune Journaliste pour son enquête : “Il y a cinquante ans, Brovès disparaissait”, qui retrace la disparition du village de Brovès, dans le Var, en 1974.
Le Prix Varenne, fondé en 1989, récompense chaque année les sept meilleurs journalistes de la presse.
Anaïs nous a fait part de son ressenti : « Je suis très honorée d’avoir reçu le Prix Varenne Jeune Journaliste en PQR-PQD. Ce prix représente énormément pour moi. Plus qu’une récompense personnelle, il prouve que la presse locale a encore une place essentielle. Les petites histoires de village comptent tout autant que les grandes. Je suis fière d’avoir pu leur donner la voix qu’elles méritent. »
Anaïs Grand, Journaliste à Var-Matin et Alumni de l’EDJ, promotion 2020
2024 : notre étudiant remporte son deuxième Micro d’or !
À l’aube des jeux olympiques de Paris 2024, Benjamin a souhaité travailler sur une épreuve historique : la course de char. Il retrace ainsi la vie de Cynisca, première femme à avoir « marqué » l’Histoire des Jeux par sa victoire sur cette épreuve mythique en 400 avant JC.
Benjamin a ainsi décroché son deuxième micro d’or, cette fois-ci dans la catégorie radio, pour la première édition des « Micros d’Or pour demain » qui s’est tenue les 3, 4 et 5 juin 2024 à Mandelieu-la-Napoule.
Découvrez le travail de Benjamin BRUDNO, étudiant à l’EDJ de Nice en Bachelor de journalisme sportif promotion 2024, Rémy Buisine 👇
2022 : notre étudiant lauréat des Micros d’or !
Benjamin BRUDNO a obtenu les Micros d’Or dans la catégorie écoles de journalisme, grâce à son reportage sur Arthur BAUCHET, 3 fois champion paralympique de ski alpin (voir son reportage ci-dessous).
Les Micros d’or, selon Jean-Marc Michel, son fondateur : « C’est une vitrine pour mettre les projecteurs sur le métier de journaliste. Un métier particulier à base de connaissances, d’instruction et de passion. Et pour maîtriser tous ces ingrédients-là, il vous faudra toujours une bonne dose de lucidité. »
Jean-Marc Michel – fondateur des Micros d’Or – est venu remettre son prix à Benjamin lors d’une cérémonie à l’EDJ Nice. Il a confié pour l’occasion : « Je peux vous dire qu’il est passé devant des gens déjà journaliste en poste dans certains médias. »
2020 : l’EDJ sacrée aux Micros d’or !
L’École du journalisme de Nice a remporté les Micros d’or, un prix décerné par les plus grands noms du sport et qui récompense le meilleur reportage de journalisme sportif.
Une cérémonie à couper le souffle ! L’École du Journalisme de Nice, par l’intermédiaire de trois de ses étudiants en Mastère Pascal Atemenou, Kevin Dienger et Jimmy Comte, a remporté le prix du meilleur reportage de journalisme sportif dans sa catégorie. Créés en 1987 sous l’égide de l’Union des journalistes de Sport en France (UJSF), les Micros d’or récompensent chaque année les meilleurs travaux journalistiques en lien avec le sport. Une consécration pour l’école niçoise qui s’est spécialisée depuis plusieurs années dans l’enseignement du journalisme sportif.
Grâce à un reportage sur l’apnéiste Morgan Bourch’is, tourné lors des championnats du monde d’apnée organisées à Villefranche-sur-Mer, les étudiants ont su séduire un jury constitué de grands champions et de médaillés olympiques. Une performance saluée par les professionnels de la presse qui ont notamment mis en avant la qualité des images, du récit ainsi que la pertinence du sujet.
Le Grand Bleu
Dans ce reportage, les étudiants ont décidé de mettre en avant une discipline aussi méconnue que fascinante : l’apnée. Rendu célèbre par le film le Grand Bleu de Luc Besson, ce sport, qui est presque un art de vivre, est au cœur de ce documentaire qui nous plonge dans les profondeurs de la Méditerranée avec des images sous-marines à couper le souffle. Le reportage dévoile les coulisses d’une discipline exigeante, aussi bien dans la préparation mentale que dans la performance physique. Fier de leur travail, Morgan Bourch’is était même présent à la cérémonie pour remettre ce prestigieux prix aux étudiants. Une soirée riche en émotions pour l’École du journalisme de Nice et une consécration pour celle qui a depuis longtemps misée sur la spécialisation de journalisme sportif, avec des cours spécifiques et des professeurs spécialisés. Rendez-vous l’année prochaine pour défendre ce titre avec brio !
Le documentaire à visionner ici :
Le site des micros d’or : https://www.microsdor-ujsf.fr/
2014 : l’EDJ remporte le grand prix du digital du défi grandes écoles de l’Express !
2011 : l’EDJ remporte le défi grandes écoles de l’Express !
Première participation, première victoire. Le 5 mai au soir, l’école du journalisme (EDJ) de Nice a gagné le premier prix du défi L’Express grandes écoles. Cette récompense a salué le travail des dix étudiants niçois qui ont réalisé un supplément de l’hebdomadaire intitulé « Nice, qu’as-tu fait de ton identité ? ».
Le défi grandes écoles, organisé par L’Express et M6, oppose ainsi chaque année une dizaine d’établissements d’études supérieures. Chacune doit réaliser et vendre un supplément du magazine L’Express dans sa région.
La compétition se divise en trois parties :
la rédaction d’une enquête et de brèves d’informations locales et culturelles ;
la recherche d’annonceurs et la vente d’espaces publicitaires ;
et enfin la vente directe du magazine dans la rue, les gares, les aéroports ou les hypermarchés.
Pour la 22e édition du défi, il y avait douze écoles en compétition.
Parmi elles :
l’ESJ Lille, les IEP d’Aix et Strasbourg, l’ESC de Dijon ou encore l’ESSCA d’Anger.
L’EDJ est particulièrement fière d’avoir devancé la prestigieuse école de Lille, qui a terminé troisième derrière Strasbourg.
L’école a tiré son épingle du jeu grâce à son enquête sur l’identité niçoise.
Le choix du sujet n’a pas longtemps fait débat.
En effet, cette année, Nice fête le cent-cinquantième anniversaire du rattachement de son comté à la République française. Les étudiants on voulu comprendre comment la dernière ville française a évolué depuis un siècle et demi. Ils ont également essayé d’analyser l’impact des groupes identitaires niçois sur la politique locale. Les apprentis journalistes ont aussi pu s’entretenir avec l’historien et écrivain niçois Max Gallo.
Si l’écriture du dossier d’enquête et des autres contenus rédactionnels n’a posé aucun problème, la partie commerciale a été plus compliqué. Le démarchage d’annonceurs ou la vente à la criée ne sont pas les spécialités de ces dix jeunes. Mais la motivation l’a emporté sur le manque d’expérience, puisque l’EDJ a également obtenu les meilleures résultats dans ces deux domaines.
Cette réussite doit beaucoup à la composition de l’équipe des dix participants, dont la coordination était assurée par Laurie Zénon. Le rédacteur-en-chef Clément Fouquet et les rédacteurs Léa Pineau et Alexandre Jean étaient aux commandes de l’enquête.
Pour ce qui est des photographies, c’est Thibault Pomares qui était à l’œuvre. Les parties publicitaire et commerciale incombaient à Laura Sahin, Floriane Derickxsen et Charlotte Gorzala. Et enfin Émilie Scoccia et Yann Boulkenafet s’occupaient respectivement de la trésorerie et de la promotion des ventes.
Leur travail d’équipe et leur grande cohésion ont permis à l’EDJ de remporter ce défi pour la première fois de son histoire. Et comme le hasard fait bien les choses, l’école est coiffé de ces lauriers l’année même de son vingtième anniversaire.
La directrice et fondatrice de l’EDJ, Marie Boselli ne pouvait rêver meilleur cadeau pour fêter cet événement.