Mes trois ans à l’EDJ : J’ai été ravi des enseignants que j’ai rencontrés à l’école. La grande majorité m’a plu. Ils n’ont été que très peu avec qui ça s’est mal passé. Et ce n’était pas toujours de leur faute. Le droit avec Werner Hoeffner a été dur, mais tellement instructif, les cours de prise de parole avec Fabrice Mauro étaient également très formateurs, la presse écrite avec Stéphanie Gasiglia et Romain Chadran ont été mes enseignements préférés puisqu’ils laissaient beaucoup de liberté et restaient très ouverts. En revanche, l’ambiance au sein de l’école, entre les élèves, m’a souvent mis mal à l’aise. « L’Esprit EDJ » prôné à notre arrivé a vite été remplacé par une concurrence nauséabonde, pas seulement à l’intérieur même des promotions, mais également entre la totalité des élèves. J’ai vu des coups vicieux s’échanger pour quelques points en plus, en vue d’une place plus haute dans le classement. Les derniers mois, ceux pour la course au top 3, n’ont pas poussé les étudiants à augmenter la qualité de leur travail, mais à tenter de faire diminuer celle des autres. Aussi, je pense que ce système de classement ne sert qu’à monter les étudiants les uns contre les autres.
Etudiant, Promo 2018
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